Ivan Ivanovitch

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Nanard
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Ivan Ivanovitch

Message par Nanard »

Bon ok j'ai écrit un genre de conte sur la Seconde Guerre Mondiale et sur la Guerre Froide à partir de ma participation du concours d'écriture (sur Roubaix). Tout le début est identique, mais j'ai continué le truc parce que je voulais la faire publier dans mon journal étudiant, donc j'ai voulu la rallonger.

J'ai fait BEAUCOUP de recherches pour être le plus exact possibles dans mes références historiques (y'en a beaucoup). J'ai une bonne connaissance de ces périodes de l'histoire (probablement celles que je connais le plus) mais bon je suis pas Noob Man non plus ptdr

Voilà.

Cette histoire étrange débute à Stalingrad, en Union Soviétique, en 1944. Joseph Staline faisait un long discours sur l’importance d’envoyer des gens pelleter de la neige en Sibérie pour assurer la stabilité économique du Kazakhstan et empêcher Hitler d’envahir le pays grâce à sa flotte navale inexistante. Les Russes étant génétiquement idiots, ils burent ses paroles avec fébrilité. Littéralement, car Staline avait engouffré dix-sept litres de vodka et son haleine était maintenant si alcoolisée que même la température était en état d’ébriété, ce qui explique le climat de merde de la Russie.

Mais une personne dans l’assemblée n’était pas d’accord. Du moins, c’est ce que pensa Staline lorsqu’un pet sonore s’échappa de la foule. Il ne mit pas longtemps à découvrir de qui il s’agissait, car tous ceux qui l’entouraient étaient morts d’une crise d’épilepsie qui n’avait absolument aucun lien avec le pet. Staline voulut alors envoyer le mécréant dans un goulag, mais il ne trouvait pas le châtiment suffisamment cruel. La Sibérie, c’était Disney Land comparé au terrible endroit où il comptait l’envoyer.

Ainsi, le pauvre Ivan Ivanovitch, un nom très commun dans son petit coin de pays gigantesque, s’envola en première classe pour un pays qu’il ne connaissait pas, mais qui sonnait terriblement mal. Dans sa bouche, du moins, avec son accent d’attardé et ses gencives dénuées de dents.

C’était la France, un pays ravagé par la guerre. En arrivant à l’aéroport, il fut accueilli par un gentil nazi qui s’amusait à manger des cadavres. Ivan se sentit soudain comme à la maison. Il accompagna le gentil nazi dans sa dégustation, puis lui demanda où se trouvait le camp de travail le plus proche. Le nazi feignit l’ignorance. Après tout, les nazis ne savaient pas et n’avaient jamais su. Ivan comprit que la blondeur de ses cheveux avait attirée la chaleur du soleil et avait rendu l’Allemand fou, si bien qu’il s’amusait occasionnellement à confisquer des claviers d’ordinateur aux juifs pour ensuite les démolir sur leurs têtes. Oui oui, les juifs avaient des ordinateurs. Ils pouvaient se le permettre, eux.

Le nazi remarqua alors l’étrange accent de son visiteur, après trois heures de débat sur la politique de la République Tchèque, qui n’existait pourtant pas encore. Un accent incompréhensible. Il en conclut donc qu’Ivan était Belge. Sur ce, il fit embarquer le pauvre Russe dans un car en direction du Benelux.

En cours de route, la voiture roula sur une mine antipersonnel aussi visible que du sperme sur un Africain. Tout le monde mourut, sauf Ivan, qui survécut tout simplement parce qu’il était Russe. Et aussi parce que c’est moi qui décide.

Mourant, il rejoignit en rampant la ville de Roubaix, tout près de Lille. Une ville qui ne figurait encore sur aucune carte tellement tout le monde en avait rien à chier, et qui avait donc été épargnée par les Allemands. C’est ainsi qu’Ivan se retrouva parmi une bande de cinglés qui parlaient une langue encore plus WTF que la sienne : le ch’timi.

Étant Russe, Ivan ne put s’empêcher de montrer sa virilité à toutes les femmes de la région, en les baisant toutes une par une. Étrangement, elles portaient toutes le même nom de famille. Oui, c’était une petite ville. Très petite.

Finalement remis de ses blessures, notre bon Ivan voulut regagner sa patrie, mais étant incapable de se concentrer en étant sobre, il se perdit et, par pure coïncidence absolument coïncidentique, en juin de cette même année, il se retrouva en Normandie pendant le débarquement des Alliés. Ce qu'il vit alors fut mémorable : une bande de sauvages d'Amérique nageant tels de fiers guerriers vers la côte, accompagnés de Captain America et de quelques Canadiens qui servait à transporter les armes comme des esclaves. Hurlant des « Ja! Ja! » comme cri de ralliement et traitant impitoyablement les Américains de « Guten Tag », les Allemands se firent mémorablement massacrer.

Comme Ivan Ivanovitch, avec son haleine fétide et son hygiène plus que douteuse ressemblait à s'y méprendre à un redneck de Floride, il fut accueilli comme un frère par les Alliés. On lui offrit de la nourriture à profusion, ainsi que de la « bière », chose sans goût que l'on osait qualifier d'alcool. Ivan, qui avait plus de vodka dans le sang que de globules rouges, s'ouvrit les veines et fit boire à ses nouveaux amis cette liqueur de son pays. Aussitôt, les Américains qui y gouttèrent fondirent sur place en se répandant en une large flaque rougeâtre.

Ivan fut alors chassé à grands coups de balai et repartit tristement vers son pays natale. Il traversa la France sans peine et arriva devant les Alpes. Habitué au climat aride de la Sibérie, passer au travers de ces montagnes impérieuses était une véritable promenade de santé pour lui. Pendant son périple, il urina au sommet du Mont Blanc, ce qui fit fondre la neige et créa une immense avalanche qui tua 26 439 Suisses. Mais tout le monde s'en fout des Suisses de toute façon.

Le pauvre Russe arriva enfin en Allemagne, où il put constater à quel point Adolf Hitler, cet incroyable visionnaire, avait embelli son pays. Il est d'ailleurs fort étrange que l'école nationale des arts ait rejeté son inestimable talent. Ivan trouvait que ce rouge qui ruisselait dans les rues ressemblait fort bien à la couleur du drapeau soviétique, ce qui le mit de bonne humeur. Heureux comme jamais, il se fit plaisir en égorgeant à main nue un enfant et en mangeant son cœur. Selon Baba Yaga, cette grande prêtresse de son pays, cette activité redonnait de la vigueur, et c'était vrai ; Ivan eut la plus grosse érection de toute sa vie, si bien qu'il crut un moment avoir été contaminé par un Africain.

Pour se débarrassé de ce terrible fléau, Ivan viola sans vergogne chaque cadavre qu'il trouva sur son chemin, sans prendre la peine de leur demander la permission. Il faut dire que la politesse n'a jamais été une vertu très recherchée par les Russes. Il fut par la suite poursuivi en justice par un regroupement de zombies, mais ça c'est une autre histoire.

En arrivant à Berlin, Ivan apprit qu'Hitler s'était dignement suicidé tel un Romain; il en fut tout retourné, si bien que certains trouvèrent inapproprié qu'il se promène en sautillant sur la tête devant des enfants. Mais bon, les Russes n'ont pas non plus de pudeur. En fait, les Russes n'ont aucune qualité, si ce n'est d'être des tueurs de masse chevronnés. Ils sont très doués à Medal of Honor, dit-on. Ça leur rappelle de bons souvenirs, dit-on.

Mais la mort du vénérable Hitler apporta son lot de malheurs sur le pays le plus pur de la planète, qui fut alors divisé comme un gâteau au fromage New-York par les Américains et les Soviétiques : une partie communiste où les enfants se mangeaient entre eux, où les femmes se faisaient violer par des rats gros comme des éléphants, où les hommes devaient travailler trente-trois heures sur vingt-quatre pour pouvoir acheter un gramme d'opium; une partie capitaliste où les enfants se mangeaient entre eux, où les femmes se faisaient violer par des rats gros comme des éléphants, où les hommes devaient travailler trente-deux heures sur vingt-quatre pour pouvoir acheter un gramme d'opium. En fait, il n'y avait pas beaucoup de différences, si ce n'est que les Américains vendaient l'opium moins cher. Ce fut suffisant néanmoins pour proclamer les bienfaits du capitalisme pendant les générations suivantes.

Mais ce qui tua avant-tout le communisme, ce fut la façon abominable dont Joseph Staline s'en servit pour oppresser son peuple..

« Le communisme, c'est traiter tout le monde équitablement, m'a dit un jour mon ami Karl Marx. C'est ce que j'ai fait : tout le monde est pauvre et maltraité, pas de discrimination ! » - Joseph Staline à son chat Igor.

Alors Ivan Ivanovitch, voyant tout le mal qu'avait apporté son pays dans cette patrie déjà suffisamment ébranlée, jura devant Tchaikovski de tuer sauvagement Staline. Il n'éprouva aucun mauvais ressentiment envers les États-Unis, cela dit, car il faut bien l'avouer, ce sont les Russes les méchants de l'histoire. Ils ont tués tellement et tellement de nazis que c'est à se demander qui a réellement commis un génocide.

C'est donc armé d'un AK-47 qu'Ivan se rendit à Moscou. Ce mois d'août s'annonçait particulièrement rigoureux et il dut se chausser d'immenses raquettes pour franchir l'océan de neige qui le séparait de son objectif.

Pendant ce temps, les Japonais se faisaient défoncer la gueule. À vrai dire, leurs yeux bridés les empêchaient de distinguer clairement les soldats américains, tous obèses. Malgré leurs techniques de karaté et leurs fameux jutsus, les Nippons ne purent repousser l'attaque et bientôt Okinawa et Iwo Jima furent entre les mains de l'ennemi. Ensuite, pour prouver à tous que la guerre ce n'est pas bien, le président Truman fit exploser Hiroshima et Nagasaki avec des bombes atteignant facilement les 100 millions de degrés Celsius en leur centre. « IMPOSSIBURU » crièrent certains, stupéfaits par la puissance de la bombe. « ARRRGHHLLARRRRLLL » crièrent d'autres, agonisant dans une marre de magma bouillant.

Évidemment, cet événement fit naître chez les Russes un intérêt soudain pour la physique. Pendant les années qui suivirent, ils s'engagèrent avec les États-Unis dans ce que nous appelons aujourd'hui la Guerre Froide, qui fut nommée ainsi parce qu'il faisait trop froid en URSS pour faire la guerre comme des hommes.

Pendant ce temps, notre cher Ivan Ivanovitch attendait dans l'ombre, préparant minutieusement son assassinat. Il entra d'ailleurs dans la Confrérie des Assassins où il apprit que Staline était un Templier et qu'il recherchait l'Orbe d'Eden pour contrôler le monde, ce qui le conforta dans sa résolution. Il attendit pendant plusieurs années, puis un jour, en 1953, il se décida à frapper.

Hélas, un gros connard égocentrique du nom de Lavrenti Beria, avec qui Ivan avait été au lycée (même si les lycées n'existent pas en Russie), voulut mettre fin au règne de Staline avant lui. Il faut dire que ce salopard avait toujours aimé faire chier Ivan. À l'école, il lui avait piqué sa copine Viktor, et, à de nombreuses reprises, son repas composé d'un sandwich à la viande d'ours sibérien et d'un gâteau à saveur de testicules de fillettes russes. Beria aimait aussi particulièrement rafler les meilleures notes de la classe juste pour faire chier Ivan, comme la fois où il avait eu 140% à l'examen sur les romans de Dostoïevski, alors qu'à l'instar de tous les autres Russes, il ne savait pas lire.

Ainsi, le 28 février 1953, Staline convoqua plusieurs de ses alliés, dont Beria, qui était le chef du NKVD, pour se faire une partie de roulette russe entre potes. Au cours de la soirée, Beria lui fit boire un verre du fameux cocktail de Viatcheslav Molotov. Le cocktail n'était pas empoisonné en soi, mais Staline ayant du sang d'Européen dans les veines (étant né dans les monts de l'Oural, à la frontière européo-asiatique de la Russie), son système ne put résister à cet alcool d'homme et il fit un ACV, ce qui le tua quelques jours plus tard, le 5 mars. Par la suite, les Occidentaux se servirent de cet alcool pour mettre le feu à des commerces italiens, car même l'oxygène n'arrive pas à le supporter et s'enflamme donc aussitôt, laissant croire à tort qu'il faut mettre un tissu enflammé dans l'alcool pour que ça fonctionne (décidément les Occidentaux n'y connaissent vraiment rien en chimie). À noter que l'air de la Russie étant composé exclusivement de gaz méthylique, le cocktail Molotov ne fonctionne pas là-bas et est bu comme un simple apéritif.

Après les obsèques de Staline, Lavrenti Beria se saoula la gueule et alla se vanter à Molotov qu'il avait réussi à dénicher une carte holographique d'un Himmler lvl 44, une édition limitée de l'ancien Parti Nazi. Il se vanta aussi d'avoir assassiné Staline et d'avoir baisé la femme de Molotov, entre autre choses.

Le 26 juin de la même année, Beria fut évincé et arrêté directement au Kremlin pour complot. Plusieurs mois plus tard, en décembre, il fut jugé et condamné à payer des impôts pour le reste de ses jours (c'était la peine capitale à l'époque pour une personne aussi puissante). Mais Ivan Ivanovitch, complètement détruit parce qu'il n'avait pas réussi à tuer Joseph Staline lui-même, n'était pas du tout d'accord avec cette sentence. Pris d'un accès de rage et d'un désir immuable de vengeance, il infiltra le bunker du Quartier général où était détenu l'ancien chef du NKVD, ce qui ne fut pas bien difficile, car comme tous les Russes, les gardes étaient stupides, et lorsque Ivan leur dit qu'il se nommait Pavel Batitski, l'homme qui avait été chargé de venir porter un rapport d'impôt à Beria, ils le laissèrent passer sans vérifier son identité.

Ivan se retrouva donc devant la cellule de son ennemi de toujours. Ni une ni deux, il lui tira une balle dans la tête et se sauva.

Son travail maintenant achevé, Ivan Ivanovitch s'exila sur l'île de la Nouvelle-Zemble où il décida de fonder une famille avec un ours qui lui rappelait beaucoup sa copine du lycée, Viktor. Il savait que l'armée procédait à des essaies nucléaires sur l'île et se dit qu'il aurait la paix de cette façon. Malheureusement, un jour qu'il avait une terrible gastro, il décida de péter, ce qui produisit la plus puissante explosion de toute l'histoire de l'humanité. Les autorités russes se dépêchèrent de faire croire qu'ils avaient fait péter une bombe H nommé Tsar Bomba juste pour faire peur aux Américains. C'est ainsi que mourut Ivan Ivanovitch.

Fin.
Vos impressions messieurs.
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Mugul 76 a écrit :Je le jure wallah, sur le Coran chuis pas cisgenre
Kroki a écrit :l'inceste entre frères et sœurs why not ;)
Arpg a écrit :Je préfère sodomiser un lion, plutôt que les chimpanzés
Fynmorph a écrit :jsuis trop chaud pour faire de l'eugénisme perso
Kirby a écrit :Poyo!
Kroki a écrit :I need a man who can make me orgasm have u ever made a chick squirt?? hehe
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Jackfiouse »

Pourquoi tu crées pas juste un topic où tu postes toutes tes rédacs ?
J'ai pas encore lu sinon mais je comptes le faire.

EDIT: dafuq did i just read :smile:
Sinon le meme c'est IMPOSSIBRU, pas IMPOSSIBURU.
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Nanard »

Ben parce que j'ai pas envie que mes trucs se perdent dans les pages multiples. Ok avec les SC je peux tous les mettre en première page, mais pas les écrits, donc voilà je crée un topic à chaque fois.

Pour le meme, théoriquement ça devrait être IMPOSSIBURU si on se fie à à la prononciation japonaise. Ceux qui ont créé le meme son retardés.
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Mugul 76 a écrit :Je le jure wallah, sur le Coran chuis pas cisgenre
Kroki a écrit :l'inceste entre frères et sœurs why not ;)
Arpg a écrit :Je préfère sodomiser un lion, plutôt que les chimpanzés
Fynmorph a écrit :jsuis trop chaud pour faire de l'eugénisme perso
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Jackfiouse »

Retardé ou pas, ça reste IMPOSSIBRU.
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Nanard »

va te faire mettre par staline

ET SINON LES AUTRES HÉ VOUS AVEZ PAS D'OPINION OU VOUS ÊTES JUSTE TROP GAY POUR LIRE CETTE OEUVRE MAGISTRAL
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Mugul 76 a écrit :Je le jure wallah, sur le Coran chuis pas cisgenre
Kroki a écrit :l'inceste entre frères et sœurs why not ;)
Arpg a écrit :Je préfère sodomiser un lion, plutôt que les chimpanzés
Fynmorph a écrit :jsuis trop chaud pour faire de l'eugénisme perso
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Kroki »

J'aime les hommes.
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Smoke-Kun »

J'ai la flemme de lire.
Non en vérité, j'ai lu. Mais j’espérais un truc sérieux et tu fait un truc WTFesque.
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Niko Seiuchi »

T’espérais un truc sérieux de la part de Nanard?
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par SM58 »

J'ai lu, et j'ai aimé.
Sans déc', j'adore ton humour : ça parait facile comme ça, mais c'est en fait plus complexe...
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par El Señor Toulou »

C'est complètement mindfuck. Mais c'est aussi énorme.

Sérieux, tu comptes réellement faire publier ça ?
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Nanard »

Oui, ne serais-ce que pour recevoir les centaines de mails courroucés des immigrants qui se seraient sentis offensés en lisant ce ramassis de blagues ultra racistes :)

Sérieux j'espère qui a pas de Russe dans mes classes ptdr

Je pensais recommencer un truc dans le genre, en prenant une autre époque. Je trouve ça cool de raconter une histoire réelle avec ma touche personnelle. Ça semble surprenant, mais la très grande majorité des événements décrits et des personnes cités ont vraiment existés ^^

Ça m'a aussi permis d'en apprendre plus, notamment sur le complot qui a eu raison de Staline. Vraiment, je me suis vraiment amusé à écrire ça.

Et encore, je relis des passages des fois et putain je me fais rire moi-même. C'est tellement outrageant que ça en devient hilarant.

"Ivan trouvait que ce rouge qui ruisselait dans les rues ressemblait fort bien à la couleur du drapeau soviétique, ce qui le mit de bonne humeur. Heureux comme jamais, il se fit plaisir en égorgeant à main nue un enfant et en mangeant son cœur."

srx
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Mugul 76 a écrit :Je le jure wallah, sur le Coran chuis pas cisgenre
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Fynmorph a écrit :jsuis trop chaud pour faire de l'eugénisme perso
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Jackfiouse »

Non mais le meilleur passage reste le moment où il s'ouvre les veines pour faire boire de la vodka aux Américains. Que.
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Nanard »

abreuve-moi de tes compliments jeune padawan
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Re: Ivan Ivanovitch

Message par Jackfiouse »

Honnêtement ce doit être le premier truc que tu as fais où j'ai vraiment ri à voix haute. T'es meilleur là-dedans que dans le SC, c'est tout.
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